Cassel et sa cinégénie

Cassel a déjà su séduire bon nombre de repéreurs de décors. Leur imagination leur a parfois fait faire le grand écart. Entre «L’agence Labricole», qui, à la fin des années 1970, s’adressait à un public adolescent, et «Série rose», au propos érotique assumé qui devait attirer un public plus averti, chacun a pu y trouver son compte.
Entre ces deux extrêmes, les séries policières ont été séduites par son haut potentiel cinégénique. Citons «Les petits meurtres d’Agatha Christie», «Capitaine Marleau» et la dernière en date, «Police de caractères». Sans oublier la vue aérienne qui figure au générique des «Enquêtes de Magellan».