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Y a-t-il encore un public pour une boîte de nuit à Gravelines ?

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C’est la question qu’on se pose à chaque fois qu’un établissement ferme et qu’un autre rouvre pour lui succéder.

Difficile de rejeter systématiquement la faute sur la gestion de ce lieu de nuit, tant il a été racheté.

Après l’Atlantide, l’Excalibur, le Co2, l’Inox et, plus récemment, le Krystal, le club phare de la cité de Vauban a une fois de plus la ferme intention de renaître de ses cendres avec Alexandre Bosquet à la baguette (lire ci-contre), avec le Fabrik famous club.

Rafike avait racheté les lieux à Émilie Aulet et Djamel Oulmi. Le gérant avait pu compter, comme à chaque fois, sur la confiance de la municipalité gravelinoise.

Tout démarre toujours bien

Effet de curiosité sûrement. Mais les derniers repreneurs ont ce point commun de réaliser un bon chiffre d’affaires la première année.

Et la suite, on la connaît… Rafike était prévenu : tenir une boîte de nuit, c’est un combat de tous les jours et encore plus à Gravelines.

Si bien qu’on est en droit de se poser la question de la réelle nécessité de relancer tous les deux à trois ans cette boîte de nuit. Y a-t-il encore un public pour cet établissement ?

R. F.