Le présentateur de Silence ça Pousse ! sera au salon de l’Habitat & Déco d’Hardelot

Le salon de l’Habitat & Déco revient à Hardelot du 1er au 4 novembre.

Cette deuxième édition regroupera 90 exposants, professionnels et artisans.

Après Stéphane Thébaut, présentateur de la Maison France 5, Stéphane Marie sera l’invité vedette.

Le présentateur de «Silence ça pousse !» (France 5) sera présent les 1er et 2 novembre. Il répond à nos questions.

Stéphane Marie partagera sa passion et son savoir-faire les 1er et 2 novembre à Hardelot, à l’occasion du deuxième salon de l’Habitat & Déco.

Connaissez-vous Hardelot ?

Je ne crois pas. Je connais de nom. Il me semble qu’il y a un parc. Je suis très curieux de découvrir.

Participez-vous souvent à des salons dédiés à l’habitat et la décoration ?

Oui et j’aime beaucoup. C’est sûr, on retrouve toujours les mêmes grandes marques, mais il y a aussi des artisans qui présentent le savoir-faire régional. C’est ce qui est intéressant. Chaque région a ses spécificités en la matière, certes, de manière sensible, mais c’est ce qui fait toute l’originalité de ces événements.

Quel sera le but de votre présence sur ces deux jours à Hardelot ?

J’y vais pour rencontrer les artisans, engager la conversation à bâtons rompus de manière à ce que chacun puisse y trouver son compte et échanger des informations, des conseils. Pour moi, c’est à chaque fois un challenge puisque les problématiques sont différentes. À Hardelot, on est en bord de mer, il y a des spécificités comme les embruns, la nature des sols qu’il faudra prendre en compte dans mes réponses.

Un concours propose de gagner 40 minutes de vos précieux conseils. Comment envisagez-vous cette séance particulière ?

C’est une chose que je n’ai jamais faite. Dans mes émissions, je connais les questions, les problématiques. Je pense que 40 minutes c’est un bon timing puisque je ne serai pas sur place, chez l’habitant. Je n’aurai pas de vision sur l’exposition du soleil, la qualité du sol, etc. La durée de l’échange me permettra de discuter, de questionner la personne. Peut-être pourra-t-elle me montrer des photos et des croquis de son projet.

Si une question concerne l’aménagement intérieur, pourrez-vous y répondre ?

C’est mon métier, j’ai été scénographe. En décoration, c’est autre chose, mais je suis un amateur éclairé. Ma maison est en chantier depuis 25 ans. Cependant, j’ai mes goûts… Concernant le jardin, j’aurai une approche beaucoup plus professionnelle. Je suis dedans au quotidien, je sais m’adapter aux besoins et aux demandes de la personne qui le demande.

Quel est l’intérêt de se pencher aussi sur la question du jardin ?

Les plantes font aussi partie de l’environnement des gens. Il y a un retour à ça, au jardinage. Même en intérieur, on voit partout des plantes succulentes. C’est un boom incroyable. On les vend d’ailleurs en expliquant qu’elles «n’ont pas besoin de beaucoup de soins», c’est faux ! Comme n’importe quelle autre plante, elles ont besoin d’eau, de lumière, de se nourrir… Mais c’est pour vous dire que cela fait partie du bien-être à la maison. Moi, je ne m’imagine pas vivre sans. Et puis, les plantes évoluent, posent des questions. Il faut prendre le temps d’imaginer ce que cela va devenir et de savoir ce qui va fonctionner chez nous…

Y a-t-il des plantes en extérieur à privilégier sur la Côte d’Opale ?

C’est difficile à dire, je ne connais pas encore le coin. J’imagine qu’il faut d’abord installer des pare-vent puis, derrière, des rangées avant de planter les espèces plus sensibles aux vents salés.