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François Meurice, directeurde Valofish : «C’est une très bonne stratégie»

Temps de lecture: 2 min

Pourquoi avoir cédé le rachat de Valofish ?

On est une société qui s’est toujours développée, on a connu de grosses croissances chaque année. Mais au fur et à mesure, l’envie de se développer davantage a révélé une problématique, celle du sourcing – fait de trouver des fournisseurs ou des candidats dans les achats Ndlr- pour avoir accès à la matière première. C’est un réel frein. Il fallait se rapprocher d’une société qui a accès à du volume. De plus, c’est une très bonne stratégie pour se développer et répondre au marché. Ce sont les deux grandes raisons qui ont poussé les discussions un peu plus loin avec Copalis.

Qu’est ce qui va changer ?

Je continue à gérer la direction, à monter en puissance sur l’accès au directoir du groupe, ce qui va me permettre de voir d’autres horizons et fonctions. Moi, tout comme Jacques Wattez, président de Copalis, on ne veut pas changer les choses qui fonctionnent. Les seules choses qui ont changé, c’est que Copalis a un atelier qui fait de la surgélation, (comme Valofish), qui connaissait des problématiques économiques, de gestion etc. Jacques a demandé qu’on s’en occupe pour trouver des axes de valorisation. On a donc un atelier en plus. C’est une réelle opportunité pour nos cadres qui s’occupent de la production, de la sécurité, de la qualité qui vont travailler sur un autre site pour devenir plus rentable, démarrer de nouveaux développements, et apporter des services supplémentaires à Capécure.

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