Voilà pourquoi les gens optimistes vivent plus longtemps


Voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide, cela vous parle-t-il ? Vous parvenez à mettre de la distance et à positiver avec une grande facilité ? Vous êtes sur la bonne voie pour emboîter le pas de centenaires de la région…
Des études sur le sujet
Des chercheurs ont suivi plus de 150 000 femmes de 50 à 80 ans pendant plus de 25 ans. Ces dernières ont rempli un questionnaire portant sur l’optimisme et une évaluation de leur propre perception de l’optimisme. Celles qui ont obtenu les meilleurs résultats ont été classées dans la catégorie des optimistes. À l’inverse, les scores les plus bas sont associés au pessimisme.
Un contact 25 ans plus tard
Une génération plus tard, les chercheurs ont contacté les participantes. Résultat : bon nombre de femmes les plus pessimistes étaient décédées, là où la longévité était plus conséquente dans la team des optimistes, plus susceptibles de devenir nonagénaires voire centenaires.
Chez les hommes, aussi
Une étude du même acabit a été réalisée chez les hommes. Résultat ? Les plus optimistes avaient une durée de vie jusqu’à 15 % supérieure aux autres… Hasard ? Explications.
Comment font-ils ?
Rien de surprenant… Une alimentation équilibrée et saine, la pratique d’une activité physique régulière (même si elle est modérée), et l’absence de tabac… Voici 3 des points que partagent les optimistes. En plus de liens sociaux sains, et du sentiment de gratitude d’être dans l’instant présent.
Mais cela ne suffit pas…
Notre perception des événements nous est propre. Dans cette optique, tout dépend donc du regard que nous portons sur l’environnement et les nouvelles, qu’elles soient bonnes ou moins. Il nous faut apprendre à dompter notre perception et donc à réguler notre taux de stress. Ce que les optimistes font quotidiennement, finalement, sans s’en rendre compte… En effet, les optimistes ont développé ou ont en eux une stratégie d’adaptation qui leur permet de maîtriser leur niveau de stress et leur taux de cortisol, cette hormone néfaste sur le système immunitaire.
On se force à sourire
Rien de plus « bête » qu’un cerveau. Pour être heureux, rien de plus simple, pas besoin de millions (ça peut contribuer, soit !) mais il suffit de sourire le plus souvent possible. Cette action enverra un signal positif au cerveau.