Accueil Tendances & Co

Un petit coup de blues ? Ces 4 habitudes permettent de reprendre du poil de la bête

Bien entendu, la liste n’est pas exhaustive ;-)
Journaliste
Temps de lecture: 2 min

Focus sur l’alimentation, l’activité physique, les loisirs, les relations sociales…

1. Manger davantage de produits naturels et bruts

Des œufs, des sardines, une pomme (à la place du gâteau industriel très sucré à la farine raffinée), des épinards, des brocolis, des concombres, des choux de Bruxelles… Avez-vous consommé l’un ou plusieurs de ces aliments aux nombreux bienfaits ces derniers jours ? On ne cessera de le rappeler, le contenu de l’assiette a un impact sur le bien-être (qu’il soit physique ou mental) d’un individu. Les produits non transformés et issus d’une agriculture biologique sont à privilégier.

2. Se bouger… Même un peu !

Une étude espagnole réalisée l’année dernière a fait appel à 100 000 adultes afin de démontrer les bienfaits de l’activité sur le corps et l’esprit. Résultat ? Cette analyse a révélé que 5 000 pas quotidiens auraient un impact notable sur les symptômes dépressifs. Et sans grande surprise, plus le nombre de pas augmente, mieux c’est !

3. Voir la vie en rose, y compris quand le ciel est gris

Facile à dire, on est d’accord. Et pourtant, « il n’y a pas plus c*on qu’un cerveau », m’a un jour confié un proche ayant étudié la psychologie de très près. Non seulement les individus optimistes sont très agréables à fréquenter (leurs bonnes vibes sont bénéfiques à leur entourage !), mais ils ont cela de particulier qu’ils vivraient plus longtemps

4. Oser dire « non »

Par crainte de décevoir vos amis émoustillés, de passer pour un trouble-fête, et d’essuyer des critiques désobligeantes, vous acceptez cette sortie et ces verres d’alcool (dont l’abus est dangereux) qui ne vous donnent absolument pas envie… En agissant de la sorte, vous ne vous affirmez pas pour faire partie du moule, et regretterez peut-être votre manque de détermination. Pour certains, il n’y a rien de plus compliqué que d’oser dire « non ». En effet, nos besoins d’appartenance et de connexion aux autres peuvent nous conduire à nous oublier « pour faire plaisir, pour ne pas faire de vague, pour répondre aux attentes des proches »… Conséquence ? Au fil du temps, l’estime de soi s’amenuise et l’épuisement émotionnel se fait de plus en plus prégnant. Heureusement, il est possible de changer cela en douceur, en se faisant aider, ou non, par un(e) psychologue, un(e) sophrologue…

Lire aussi

A lire aussi

Voir plus d'articles

À la Une

Voir plus d'articles